Le Choeur de la Trinité
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Prochains concerts du Chœur de la Trinité

 

 

Concerts à l'église de la Trinité, place d'Estienne-d'Orves, Paris 9e

Samedi 15 avril 2023 à 20h

Dimanche 16 avril 2023 à 15h

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Dans les pays de langue allemande, le romantisme en musique, qui s’est développé tout au long du XIXe siècle, est particulièrement associé à l’essor de la symphonie, illustrée par des compositeurs aussi divers que Schubert, Mendelssohn, Schumann, Brahms, Bruckner et plus tardivement Mahler. Mais nombre d’entre eux se sont également illustrés dans la musique vocale, notamment sous des formes plus concises ; et ces œuvres brèves sont souvent moins connues et moins jouées. Le Chœur de la Trinité propose de redécouvrir ce répertoire par une promenade musicale illustrée par quatre compositeurs.

 

Felix MendelssohnFelix Mendelssohn (Hambourg, 1809 – Leipzig, 1847), issu d’une célèbre famille juive convertie au luthéranisme, joua un rôle déterminant dans la redécouverte de la musique baroque, notamment de   Bach et Haendel, et fut l'un des premiers compositeurs de son temps à renouveler l’art du contrepoint. Son style expressif mais toujours tenu lui vaut d’être parfois considéré comme un « classique parmi les romantiques ». Il sera représenté par les Psaumes 43 (Richte mich, Gott « Juge-moi, Dieu ») et 100 (Jauchzet dem Herrn alle Welt « Acclamez le Seigneur, toute la terre »), ainsi que par la série des Sechs Sprüche « Six motets » op. 79, écrits pour six moments forts de l’année liturgique : l’Avent, Noël, le Jour de l’An, le Vendredi saint, la Passion, l’Ascension.

 

Autre Allemand du Nord, mais qui fit surtout carrière à Vienne, Johannes Brahms (Hambourg, 1833 – Vienne, 1897) est l’auteur d’une abondante œuvre vocale comportant chœurs et lieder. Lui aussi s’inscrit dans la continuité des  maîtres baroques et classiques, dont il reprend les méthodes de composition rigoureuses, le contrepoint, le développement thématique, mais qu’il renouvelle par une puissance d’émotion propre au romantisme. Il témoignera dans ce programme de la profonde influence de la littérature et particulièrement de la poésie sur la musique de son temps : le Chœur interprétera Nänie op. 82, lamentation funèbre sur un poème de Schiller, et le Schicksalslied « Chant du destin » op. 54, méditation sur un poème de Hölderlin.

 

Anton BrucknerAnton Bruckner (Ansfelden, 1824 – Vienne, 1896), profondément attaché au catholicisme de son Autriche natale, et particulièrement à l’abbaye de Saint-Florian, près de Linz, représentera le Sud des pays germaniques par trois graduels en latin, qu’il composa assez tard dans sa vie, à l’époque de son séjour à Vienne : Christus factus est (WAB 11), Locus iste (WAB 23) et Os justi (WAB 30). L'insertion d'un motet de Palestrina O magnum mysterium permettra d'apprécier l'enracinement de sa musique.  Mais Bruckner est aussi un compositeur novateur, tenant d'une stricte logique mathématique, et d’un extrême perfectionnisme le menant jusqu’au doute tenaillant. Influencé par Liszt et Wagner, il recourt à des audaces harmoniques qui ouvriront plus tard la voie à l’atonalité.

 

Moins connu, Josef Gabriel Rheinberger (Vaduz, 1839 – Munich, 1901), né au Liechtenstein et installé en Bavière, a laissé une œuvre abondante et variée. Ses œuvres religieuses comprennent douze messes, un Requiem et un Stabat Mater. Il a également composé plusieurs opéras, des symphonies, de la musique de chambre et des œuvres chorales. Aujourd'hui, l'on se souvient particulièrement de lui pour ses compositions pour orgue élaborées et exigeantes : 2 concertos, 20 sonates, 22 trios et 36 solos. Il commença dès l’âge de quinze ans l'élaboration de son Abendlied « Chant du soir » op. 69 n° 3, sur une parole de l’Évangile selon Luc tirée de l’épisode de l’apparition du Christ à Emmaüs.

 

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